mardi 10 février 2009

Intox dans le discours de Nicolas Sarkozy sur la recherche

Dans un discours, prononcé par Nicolas Sarkozy le 22 Janvier 2009 à l’occasion du lancement de la "réflexion pour une Stratégie Nationale de Recherche et d’Innovation" et devant quelques Ministres, présidents d’universités et chefs d’entreprises; le président de l'Etat s'est montré "méprisant" et "haineux" contre la communauté scientifique en France. La vidéo est visible sur le site de l'Elysée.
D'après les enseignants-chercheurs, au delà du "mépris" et des "insultes", le discours de Sarkozy était surtout "mensonger". Voici un résumé du discours de Sarkozy commenté par une équipe de scientifiques marseillais :




Deux exemples :

Le président Sarkozy : "ce n’est pas une question d’idéologie, ce n’est pas une question de droite ou de gauche, c’est une question de bon sens".

Evolution du financement de la recherche entre 1993 et 2005

Le président Sarkozy : "nous ne sommes pas aujourd’hui dans le peloton de tête des pays industrialisés pour la recherche et l’innovation"


"Qui dit un mensonge en dit cent"
Proverbe français

mercredi 4 février 2009

Très vite : l'affaire bernard K

Le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner fait l'objet d'une charge explosive dans un livre à paraître aujourd'hui. Dans les quelques extraits publiés par l'hebdomadaire Marianne, on apprend que le militant des droits de l’homme est aussi le conseiller ( très convenablement rémunéré) de quelques dictateurs africains. Le journaliste-écrivain Pierre Péan accuse aussi Kouchner d’avoir fait entreprendre des démarches en vue de recouvrer des factures laissées impayées par le président Gabonais Omar Bongo, après son arrivée au gouvernement de Sarkozy.
On apprend aussi dans le site Marianne2 que le "french doctor" prépare sa riposte et accuse Pierre Péan de «homme malsain et antisémite» (Kouchner est né d'un père juif).

Allons Bernard, vraiment tu déçois beaucoup de gens...

- Tu es le ministre des affaires étrangères et le cofondateur de médecins sans frontières.

- Tu es le symbole de l'ouverture de l'homme qui voulait nettoyer les cités au Kärcher.

- Bernard, mon cher; j'avoue que vis à vis de toi, je sentais toujours une vive colère.

- En Irak, tu étais l'homme qui soutenait la guerre, avec tes amis Pascal Bruckner et Alexandre Adler.

- En Iran, tu n'es pas contre une intervention militaire.

- Pour Le groupe Total et contre des victimes birmanes, tu avais touché 25000 euros d'honoraires.

- Tu es l'ami d'un président qui met tout le monde en colère.

- Et dans son gouvernement, tu es solidaire.

- Et parfois tu te trompes Bernard : il ne doit pas y avoir en France une contradiction entre les droits de l'homme et la politique étrangère.

- Non mon cher Bernard, à 70 ans tu ne fais pas vraiment une brillante carrière.


"Il doit bien rester un angle de tir pour la paix" !!!
Bernard Kouchner